Ou la saineté du conventionnel…
J’aime les femmes crevant mon âme,
Sous un soleil qui fane les fleurs
S’appuyant sur leur cœur fragile,
Les aveux me font très vite pâlir.
Pourquoi ne pas aimer,
Comme vous le savez si bien,
Par de simples baisers,
Qui me feraient du bien.
Ce n’est plus un jardin,
Que j’essaie en vain d’atteindre,
Mais une mer de coraux,
Qui me coupent dans ma nage.
La souffrance, je la garde
Et vous la recevez quand même
L’ambiance qui vous enchante
Est un poison de regret.
Laisser moi seul vous aimer
Et ne m’aimez pas plus davantage,
Sauvage comme les instants
Tous mes actes sont fragiles.
Mars 1988
J’aime les femmes crevant mon âme,
Sous un soleil qui fane les fleurs
S’appuyant sur leur cœur fragile,
Les aveux me font très vite pâlir.
Pourquoi ne pas aimer,
Comme vous le savez si bien,
Par de simples baisers,
Qui me feraient du bien.
Ce n’est plus un jardin,
Que j’essaie en vain d’atteindre,
Mais une mer de coraux,
Qui me coupent dans ma nage.
La souffrance, je la garde
Et vous la recevez quand même
L’ambiance qui vous enchante
Est un poison de regret.
Laisser moi seul vous aimer
Et ne m’aimez pas plus davantage,
Sauvage comme les instants
Tous mes actes sont fragiles.
Mars 1988